Rolande ouvre sa quatrième station GNL allemande à Lübeck

Rolande LNG

Un mois après l’ouverture de la troisième station GNL allemande de Rolande à Dortmund, le site de Lübeck a également démarré ses activités. La station est une collaboration avec IDS-Q8, qui fait partie de Kuwait Petroleum.

Rolande, le pionnier néerlandais et leader du marché dans le domaine du gaz naturel liquéfié (GNL), exploite déjà avec IDS-Q8 une station située à Botlek, à Rotterdam. Dans le courant de l’année, la collaboration se poursuivra avec les stations de Grasdorf et de Ziesar. Elles font partie de l'ambitieux programme d'expansion de Rolande visant à ouvrir dix stations GNL en Allemagne cette année.

Neutralité climatique

« Notre objectif est de créer un réseau de GNL au niveau européen », a déclaré Jolon van der Schuit, PDG de Rolande. Nous contribuons ainsi à l’objectif de la Commission européenne d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2030. Nous pensons que le transport lourd de marchandises pourrait y parvenir dès 2025, notamment grâce au déploiement du bio-GNL. »

La station-service de la ville hanséatique de Lübeck, dans le nord de l'Allemagne, est située sur l'autoroute A1. Il s'agit d’une station en libre-service accessible 24/7 avec deux pompes à gaz naturel liquéfié (GNL). La capacité s’élève à 150 véhicules par jour, ce qui garantit un plein rapide sans longs délais d’attente.

À propos de Rolande et du (bio-)GNL

Établie à Tilburg, Rolande fait depuis quinze ans figure de pionnière et de chef de file dans le domaine du gaz naturel liquéfié (GNL). La société s’est fixé pour objectif de rendre le transport routier plus durable afin de contribuer à un monde plus propre. Ces dernières années, le gaz naturel liquéfié s’est imposé comme une alternative durable et abordable aux carburants traditionnels. Rolande développe, construit et exploite son propre réseau de stations-services de (bio-)GNL en Europe, déjà au nombre de 19.

Depuis 2011, le GNL est disponible aux Pays-Bas comme carburant pour les camions, et en Belgique depuis 2014. Ce carburant a déjà permis de réduire les émissions de CO2 de pas moins de 20 % par rapport au diesel. La production de GNL à partir de biogaz issu de flux de déchets certifiés et organiques, comme les déchets ménagers , le fumier, les alluvions ou les déchets agricoles, génère du bio-GNL. Grâce au (bio-)GNL, le transport routier lourd économise 99,8 % d’émissions de CO2 par rapport au diesel.